Vous vous rappelez ? À la fin du post Aiguille en fête 2016, je terminai par la phrase » Et encore, vous n’avez pas vu le plus beau, que je vous présenterai une autre fois ! ».
Je mets fin au suspense infernal, vous allez pouvoir laisser repousser vos ongles. J’ai bien le plaisir de vous présenter Edna, ma nouvelle machine à coudre !
Et oui, au salon L’Aiguille en fête, l’empereur d’Orient m’a acheté une machine à coudre pour mon anniversaire, une Elna Excellence 680.
Pourtant, je vous assure que j’ai dit non ! On voulait seulement profiter du salon pour regarder les modèles électroniques sur les stands et patatras ! voilà que l’empereur dit » on la prend » après une démonstration.
Bon, je ne me suis pas roulée par terre non plus pour qu’on ne la prenne pas et je suis bien contente d’avoir cette machine, même si je n’ai pas eu encore beaucoup le temps de m’en servir.
J’ai eu une formation de 2h pour la prise en main et c’était bien utile !
« Edna » est donc électronique : un bel écran me permet de sélectionner toutes les fonctions et les points et je peux travailler sans pédale grâce à quelques boutons : marche/arrêt, point arrière, noeud, et coupe du fil.
J’ai à ma disposition une quantité impressionnante de points et de fonctions, sans oublier des points de broderie.
Je peux installer deux bobines de fil, j’ai de multiples pieds de biche qui me permettent notamment de coudre des tissus plus épais (la hauteur du pied est réglable) en maintenant bien le tissu en place. Et plein d’autres accessoires qu’il faut que j’apprivoise.
La plaque sur laquelle on travaille a de multiples marques pour pouvoir coudre bien droit. j’ai même une autre plaque mais… je ne sais pas encore à quoi elle sert ! Et aussi une table d’extension pour les tisus plus grands.
Et bien sûr Edna a un « manteau » : une belle housse de transport bien que je doute que je la déplace beaucoup car elle pèse quand même près de 10kgs !
Du coup, j’ai envie de réaliser plein de choses et d’utiliser les coupons achetés au salon cet hiver. J’ai complété par toutes sortes de « fanfreluches » décoratives trouvées comme d’habitude dans ma mercerie de la rue de Charonne.
Il ne me reste plus qu’à être créative maintenant !
Mais avant de vous quitter, des nouvelles rassurantes de Jeanine : elle n’est pas reléguée au grenier. Je l’ai emmenée à la campagne où elle va prendre confortablement ses quartiers. Je pourrais l’utiliser en week-end ou pendant les vacances.
À bientôt !