Grand jour aujourd’hui ! j’ai profité du calme du week-end (et hélas ! aussi du temps toujours hivernal qui incite plutôt à rester à l’intérieur) pour me « frotter » à la machine à coudre. Cette mécanique me laisse admirative et je rends hommage à ses inventeurs : c’est si sophistiqué qu’ils s’y sont mis à plusieurs !
La machine à coudre, ça se mérite ! on a beau lire le mode d’emploi, il faut quand même s’y mettre et garder patience et self control : « Saint Ger » priez pour nous !
Le plus difficile est d’enfiler le fil sur l’aiguille et de « remonter » le fil de la navette. mais après plusieurs essais laborieux – heureusement assistés de l’enfile aiguille – ça y est, je peux enfin m’entraîner à la réalisation de quelques points sur un bout de tissus, Alleluia !
Après 2h30 de persévérance et grâce à « La couture, premiers pas », je peux présenter mon premier échantillon de points ! Il me reste à tester le point spécial boutonnières et la marche arrière. Le week-end prochain, j’ai rendez-vous avec ma mère pour une première leçon de couture : je suis prête !
Et le tricot ? ça avance. Le boléro est quasi fini. En voici quelques pièces détachées :
J’ai commencé l’assemblage. s’agissant d’un modèle en jersey endroit, j’ai utilisé la technique de la couture invisible pour les coutures des épaules : je place les deux morceaux l’un en face de l’autre sur l’endroit et pour assembler les épaules, je reconstitue à l’aiguille des mailles endroit comme ceci :

et j’obtiens :
une couture d’épaule invisible !
Il me reste à faire la bordure : deux bandes de 11m de côtes de 180cm chacune pour border l’encolure et nouer le vêtement autour de la taille. C’est long et fastidieux, mais il faut bien finir le modèle !
Allez j’y retourne. A bientôt
Vive la machine à coudre, on peut faire des tas de choses avec: http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9007860h/f1.item
j’ai hâte de voir les résultats!